Publié le 9 juin 2015
Les résultats montrent clairement l'impact du trafic routier avec une prépondérance marquée sur les autoroutes, tant pour le NO2 que les PM10.
Les dépassements des limites réglementaires en moyennes annuelles de 40 μg/m3, autant pour le NO2 que pour les PM10, se situent uniquement aux abords immédiats des voies de circulation très fréquentées.
Ainsi, sans considération pour les incertitudes liées à l'exercice, 9 personnes sont statistiquement impactées par le dépassement de la valeur limite pour la santé humaine de 40 μg/m3 en moyenne annuelle pour le NO2. et ce uniquement immédiatement à proximité de tronçons autoroutiers.
En ce qui concerne les particules en suspension PM10, la modélisation ne présente pas de dépassement des valeurs limites pour la santé humaine.
Cependant, ces valeurs représentent des moyennes annuelles sur l'ensemble de l'agglomération de Brive la Gaillarde, et n'anticipent pas des phénomènes locaux ou des pics de pollution épisodiques.